Le mot de l’architecte
Christine Roffiaen et Nadia Wahabi, architectes qui ont décidé de vivre au Maroc, ont conçu ce magnifique site qu’est L’Orangeraie, en tandem avec Isabelle Linski, la paysagiste qui a pensé à la nature et fait un travail fabuleux dans les espaces extérieurs entourant L’Orangeraie Agadir. Elles ont toutes les trois participé grandement à la beauté du village, mais sont d’accord pour dire que le terrain choisi à Taroudant par les promoteurs était déjà très prometteur.
« Omar Maaouni et Kamil Mseffer ont pensé ce projet dans les moindres détails, ils nous ont donné de la matière, car ils savaient exactement ce qu’ils voulaient », explique Nadia. Christine, elle, est non seulement l’architecte de L’Orangeraie, mais également résidente : « Les gens sont venus ici par goût du projet, de la lumière, de l’ambiance, du climat, de la nature, …d’un tas de choses ! Ils veulent améliorer leur qualité de vie et recevoir leurs familles dans un cadre idyllique ». Du petit produit la petite villa au Maroc de 56m2 à la grande villa avec jardin arboré et piscine privative, nous avons pensé le projet par phase, et l’avons constamment fait évoluer en fonction des désidératas de nos clients. « Quand on voit la vie aujourd’hui au village, on est heureuses. C’est du pur bonheur », conclut Nadia.
Mme Josiane Rita Hoarau
Havre de verdure et de sérénité, ce domaine offre aussi la sécurité indispensable et des services appréciables (Spa de qualité, salle de sport avec coach efficace, restaurant avec soirées à thèmes, épicerie bien pratique, bibliothèque,…) et des structures sportives : terrain de tennis & pétanque, superbe piscine de 300m2, practice de golf,…
Michel Bonhomme
’ai connu Dyar Shemsi en octobre 2009 à travers ma mère qui m’avait montré une publicité de L’Orangeraie sur un magazine. Elle m’a tout de suite séduit. On est arrivés à L’Orangeraie en janvier 2010 et j’ai rencontré la personne en charge du commercial. Elle nous a fait visiter, le village était encore en chantier, il n’y avait aucune maison de construite à part la villa témoin ! Et ça m’avait beaucoup plu, je suis revenu en avril 2010 et j’ai choisi sur plan ma villa, j’ai pris cet emplacement pour l’exposition et la situation qui était un peu retirée du quartier central, pour plus de tranquillité.
Didier de Meyer
J’ai découvert alors L’Orangeraie à travers une émission télévisée. Ca m’a interpellé et je les ai aussitôt contactés. Je suis allé visiter avec mon fils et j’ai tout de suite eu le coup de foudre quand le portail de l’entrée s’est ouvert. J’avais vu le village en photo et vidéo, mais en réalité c’était encore plus beau et je me suis dit : c’est là où je veux vivre! En rentrant en France, j’ai mis ma maison en vente et quelques mois après, j’ai acheté ma villa à L’Orangeraie.
M. et Mme Akhlou
J’ai fait la connaissance de l’équipe de Dyar Shemsi via la fille d’un ami, qui était venue passer ses vacances en 2013 à L’Orangeraie. Je me suis dit qu’il fallait que je vienne visiter cette résidence dont j’avais eu de très bons échos, nous explique M. Akhlou. J’ai pris rendez-vous avec la commerciale, j’ai fait le voyage avec mon frère et nous avons tout les deux eu le coup de foudre. Nous cherchions un pied-à-terre au Maroc, car nos parents sont originaires du sud. Nous cherchions une résidence sécurisée, hors de la ville, avec des résidents de différentes origines. Et pour tout ça, L’Orangeraie répondait complètement à nos attentes.
Tita Tapparo
J’ai découvert Dyar Shemsi grâce à une émission de télévision sur France 2. Depuis, j’y coule des jours heureux. Le climat est merveilleux, j’ai un petit groupe d’amis fidèles avec qui je partage de bons moments conviviaux, les activités sont nombreuses, je joue au Scrabble et participe aux tournois de pétanque.
Les marocains sont très gentils, il n’y a pas de barrière de langue, puisque beaucoup parlent bien le français. Et, surtout, la sécurité y est totale, ce qui est appréciable actuellement.
M. Nirat
Nous avons une qualité de vie exceptionnelle, nous trouvons tout ce dont nous avons besoin à 10 minutes de la résidence. A Ouled Teima, par exemple, nous avons demandé à notre boulanger de nous faire un pain spécial, il a donc changé ses ingrédients et nous a fait un pain comme nous le voulons. En France, ce n’est pas possible.
Nous profitons de nos journées pour faire de la marche et de temps en temps jouer aux boules. Quand nos enfants viennent, on va se balader à Agadir et aux alentours. La dernière fois, nous avions visité Taroudant, cette fois nous descendrons vers la plage blanche et irons manger du poisson grillé en bord de mer.